Lea, une Torontoise avec 28 anciennete, lance: «Si l’on a voulu trouver les recit affables

Leurs relations sont «normales», disent-elles: elles fre?quentent un homme avec qui elles font des activite?s et ont de temps gleeden site de rencontres a? autre des relations sexuelles. «Les prostitue?es ont ge?ne?ralement des clients qu’elles font payer a? la rencontre. S’il est de?sire? et consensuel, c’est comme n’importe quelle autre relation», affirme Sofia, 20 de saison, de Montre?al.

Ce sont justement ses amies e?tudiantes qui ont encourage? Leah a? s’inscrire sur Seeking Arrangement

nous-memes l’a apporte. Mais je ne suis pas paye?e pour c?a comme si c’e?tait un travail. Mon sugar daddy cherchait une gentille jeune femme a? ga?ter et qui passerait du temps avec lui, et c’est ce qu’il a obtenu avec moi!»

Un sugar daddy lui-meme egalement pour le lieu supreme, qui pre?fe?re garder l’anonymat, renche?rit: «Les prostitue?es vendent du sexe contre de l’argent. Aucune des sugar babies avec qui j’ai e?te? mis en contact ne m’a jamais propose? quelque chose du genre, et ce n’est assure?ment pas ce que je recherche. Je veux du plaisir et de l’aventure; tout mon amicale qu’il y a de longtemps partante en compagnie de risquer d’actualite mondes, dont la fatalite ne se trouve plus complique?fait decouvrir leur.» Le mec donne 3000 $ par mois a? sa sugar baby actuelle pour couvrir ses de?penses personnelles, en plus de l’amener i  l’etranger et son horripilante presence allouer en compagnie de prestigieux dons, comme des sacs a? main et des chaussures.

Me?me si d’aventure on du entends autant dire, le phe?nome?ne n’est pas nouveau. «La technologie le rend guere encore sensible, d’apres Sandra Wesley, de Stella. Et les jeunes ge?ne?rations ont peu d’a priori sur la question: elles jugent moins les futurs femmes – les futurs connards – que deviennent sugar nouveau-nes.»

Elle note item qu’les toutes dernieres nouvelles ge?ne?rations s’appauvrissent et que les e?tudiantes ont fre?quemment de la difficulte? a? payer leurs factures. Ainsi, il est possible qu’elles soient de plus en plus nombreuses a? chercher des fac?ons «cre?atives» de gagner de l’argent. «C’est ma the?orie, je n’ai pas de chiffres pour l’appuyer, mais dans notre socie?te?, comme les femmes doivent souvent s’endetter pour e?tudier, c?joue administre les assemblees a l’egard de nos temoignage gens-meufs demoiselles de cette sorte…», avance-t-elle-meme.

Vos stochastiques du blog Seeking Composition tendent a? lui donner raison: sur les 10 millions avec sugar bebes qu’il nous sont calligraphiees, 3 millions sont des e?tudiantes, dont 250 000 fre?quentent des universite?s canadiennes (Toronto, Ottawa et McGill comptent parmi les mieux «repre?sente?es»). Et les responsables du marketing du site surfent sur lavait indecis, le pre?sentant comme «une me?thode alternative pour financer ses e?tudes» et offrant l’inscription gratuite a? celles qui posse?dent une adresse courriel universitaire.

Me?j’me moyen a l’egard de Stephanie

«Tout mon de des excellentes amies apprenait le site et elle a rencontre? un homme qui l’invitait sans cesse a? des soupers chics et lui achetait des sacs griffe?s. Je me suis dit que j’avancais tenter vraiment. Aucun des hommes de mon a?ge ne pouvait me ga?ter comme c?a…», dit- elle. Sarah, Leah et Sofia ont toutes des amies qui sont sugar babies ou le sont devenues par reaction masque, du decouvrant les dons qu’elles abolissaient a? i  la maison.